Si tu le dis!!
Voilà la suite et la fin!!!!!!!!
Elle cherchait un moyen de convaincre Teyla d’abandonner les missions. La tache s’annonçait compliqué mais Elizabeth n’était pas prête à lâcher la partie aussi facilement. Elle convoqua Teyla et les deux femmes eurent un longue conversation. A la fin, Weir, repris son journal.
« Mon Dieux que Teyla peut être têtue ! J’ai cru que je n’arriverais jamais à la faire changer d’avis. Mais je peux être plus têtue qu’elle si je le veux ! Finalement j’ai réussit à la ramener à la raison.
Malgré son désir de vengeance, je suis parvenue à la convaincre de ne plus partir en mission. En contre partie, elle m’assiste dans ma tâche et je dois bien avouer qu’elle va m’être d’une aide précieuse. Je suis contente que nous ayons trouvé ce compromis, elle sera faire face aux nouvelles responsabilités qui l’attende.
Teyla ne cessera jamais d’aimer John, j’en suis sûre. Elle ne vit que pour son enfant et maintenant, elle à toutes ses chances de rester en vie pour la voir grandir.
Quand à moi, j’ai eu la chance que Rodney m’offre une chance de tout reprendre à zéro et je ne voyais pas de raison pour ne pas saisir cette chance. Je ne sais pas exactement ce que je ressent pour lui, mais ce dont je suis certaine, c’est que c’est beaucoup plus fort que ce que j’éprouvais pour John. Je ne veux pas crier haut et fort que c’est de l’amour, je me suis déjà trompé une fois, à quoi bon foncer tête baissée une fois encore et prendre le risque d’une nouvelle désillusion ? Le temps apportera les réponses à toutes ses questions… »
Les années passèrent et Elizabeth ne ressentit pas le besoin de ce confier à son journal jusqu’au jour où…
« Elizabeth MacKay…J’adore entendre ce son et je crois bien que je m’en lasserais jamais.
Il y’a cinq ans, j’ai cru que la mort de John allait briser ma vie mais ça a eu l’effet inverse. Je me sens vivante comme jamais. Bien sur il me manque et je suis triste quand je pense à lui, mais ce n’est rien de plus qu’une nostalgie amicale. C’est loin d’être le cas pour Teyla, elle l’aime toujours autant et je pense que sans N’Quara, elle en serait plus parmi nous depuis longtemps. Sa fille la maintient en vie. Bien sur Rodney et moi veillons sur elles et je me suis vite habitué aux « Tata Lizzie et tonton Rodney ». N’Quara est une bouffée d’air frais dans cette base. Elle est la preuve que le vie peut naître dans cette cité. Ce n’est pas parce qu’il y’a une majorité de militaire que la vie ne peut reprendre ses droits…Et si deux militaires s’aimes, ce n’est sans doute pas moi qui les enverrais devant la cour martiale.
La vie s’annonce beaucoup plus belle que je l’aurais cru il y’a quelque années… »
Elle referma son journal, le pris dans ses mains et quitta son bureau. Elle regagna les balcons et de là, elle jeta son journal dans l’étendu d’eau…Elle n’en avait plus besoin.
Fin !!!!!